Arrivé à Paris, Karmapa et son entourage se rendirent au nouveau centre Kagyu Dzong de la rue Philippe-Hecht, fondé par Kalou Rinpoché
lors de sa visite en 1973.Ils y séjournèrent pour ? de jours. Au cours de ces jours, de nombreuses initiations, rencontres et cérémonies de la Coiffe Noire ont eu lieu. Le Karmapa transféra la bénédiction de l’esprit du bodhisattva de la compassion Avalokiteshvara. La plus importante de ces cérémonies a pris place à l'hôtel Sheraton, à Montparnasse.
lors de sa visite en 1973.Ils y séjournèrent pour ? de jours. Au cours de ces jours, de nombreuses initiations, rencontres et cérémonies de la Coiffe Noire ont eu lieu. Le Karmapa transféra la bénédiction de l’esprit du bodhisattva de la compassion Avalokiteshvara. La plus importante de ces cérémonies a pris place à l'hôtel Sheraton, à Montparnasse.
A l'invitation de la Famille Benson, le 16ème Gyalwa Karmapa arrive en Dordogne.
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Le 16e Gyalwa Karmapa à Kagyu Ling en Bourgogne Le 16e Gyalwa Karmapa au Vatican Plus d'information sur l'evennement au Sheraton à Paris |
Extrait de Compassion rayonnate
Paris
Tous sont noyés dans l’océan de la souffrance du monde, extérieurement souillés par l’avidité et le désir, et le poison de la haine et de la malveil- lance envers les autres. Si nous devions résumer la substance du Dhar- ma (loi de vérité), nous pourrions dire qu’il s’agit de l’enseignement
du Bouddha, qui libère de l’ignorance et balaie les poisons de l’esprit, de la parole et du corps. [...] Vous accepteriez de vous donner un mal infini pour monter un ensemble mécanique compliqué, ou pour acquérir
richesse, situation, pouvoir. Faites de même pour le Dharma.
Le 16e Gyalwa Karmapa [2]
Contrairement aux événements partiellement improvisés en Europe du Nord, le plus grand moment de la visite de Karmapa en France eut lieu le 11 janvier 1975 dans un cadre particulièrement solennel. Pour l’occasion, une grande salle de l’hôtel parisien cinq étoiles Sheraton avait été louée. [2] Les personnes – entre trois mille et « plus de cinq mille » – qui assistèrent aux cérémonies de la Coiffe Noire étaient venues pour la plupart grâce au bouche-à-oreille. Laura Napoli :
"J’avais rencontré des gens ouverts qui parlaient de spirituali- té, de Blavatsky, d’Arnaud Desjardins, de Krisnamurti et ils m’avaient parlé de la visite d’un très grand maître tibétain. Je m’y suis donc rendue avec quelques-uns de mes amis. C’était un hôtel dans un quartier classique, il y avait un public très mélangé, un groupe de « hippies » assis par terre, déjà influencé extérieurement par l’Inde, mais pas seulement, c’était vraiment un public très mélangé. La grande salle était pleine. Bien sûr, c’était parfois la curiosité qui poussait les gens à venir.150
Selon le souhait de Karmapa, Arnaud Desjardins – qui lui avait rendu visite à plusieurs reprises à Rumtek dans les années 1960 – ouvrit la cérémonie. Le célèbre documentariste prononça un émouvant dis- cours de bienvenue. Parmi la diversité des participants se trouvaient des prêtres catholiques et le célèbre maître zen Taisen Deshimaru avec quelques étudiants, pour lesquels des places avaient été réservées
sur la scène. Parmi les personnes présentes se trouvait le lama Geluk- pa Dagpo Rinpoche, qui depuis 1960 enseignait le Dharma dans la capitale française et qui, avec Lama Denys et Lama Gyourme, avait également participé aux préparatifs de la visite de Karmapa à Paris."[3]
Photo: Karmapa et Taisen Deshimaru
Personne ne s’attendait à une telle affluence et il était impossible de laisser entrer tout le monde dans une salle déjà comble. Que faire ? L’une des organisatrices, Georgina de Swarte, sortit alors son chéquier et réserva la salle pour une seconde cérémonie. Selon les estimations, trois à cinq mille personnes y assistèrent et près de cinq cents prirent refuge. Karmapa passa dans les rangs pour couper lui-même une pe- tite mèche de cheveux aux nouveaux bouddhistes (selon la tradition lors de la prise de refuge). Ce fut certainement le plus grand événe- ment qui eut lieu en Europe.
Karmapa montra à nouveau l’influence qu’il avait sur les autres maîtres.
Ken Holmes décrivit ainsi l’attitude du maître zen Deshimaru :
"Au cours de la cérémonie, il paraissait de plus en plus mal à l’aise dans l’incroyable aura de Karmapa. Il semblait osciller entre le rôle de maître et celui d’élève. Sa Sainteté prit le ḍamarou (tam- bour à main) et tout en y jouant, fixa le maître zen. À la fin du passage, il joua le dernier crescendo comme un coup de tonnerre et maître Deshimaru fut littéralement secoué. Sa Sainteté sourit.
Le maître zen se détendit alors et sembla avoir compris quelque chose. Par son aptitude à montrer aux êtres de différentes capacités ce dont ils ont besoin, Karmapa était le maître des maîtres." [4]
Ensuite, Deshimaru invitait Karmapa dans son dojo zen de la rue Pernetty. Pour lui exprimer son respect, Deshimaru lui offrit, selon Lama Ole Nydahl, « les plus beaux cadeaux que je ne lui aie jamais vu recevoir, dont une bonne douzaine de statues, pour la plupart tantriques.» [5] Muriel, une pratiquante zen, servit le repas à Karmapa et à Deshimaru qui dînèrent en tête à tête. Ce qui s’est passé ensuite est un bon exemple de la manière dont Rigpé Dordjé renouvelait les liens qu’il avait autour du monde, avec des gens qu’il avait déjà ren- contrés dans une autre vie. Quand il partit, Karmapa prit Muriel par le bras et lui dit : « Je vous emmène. » Dans ses vies passées, elle aurait vécu au Tibet. Plus tard elle quitta Deshimaru et prit les vœux de nonne avec Kalou Rinpoché, qui lui donna le nom d’Ani Dekyi. [6]
À Paris, Karmapa et son entourage séjournèrent dans le nouveau centre Kagyu Dzong de la rue Philippe-Hecht fondé par Kalou Rinpoché lors de sa visite en 1973 et présidé par Lama Gyourmé. Comme par hasard, le seul Rinpoché qui résidait en France à l’époque, Dagpo Rinpoché de l’école Guélougpa, habitait juste à côté et avait aidé aux préparations, dont Lama Denys était le responsable. Avec son esprit Rimé, Karmapa s’entendait très bien avec le rinpoché et l’invita à venir enseigner à Samye Ling. [7]
Deux bienfaiteurs vinrent le voir, chacun pour lui donner une ferme et un terrain afin d’y établir un centre : Bernard Benson, propriétaire de vastes terres en Dordogne et Erwan Temple, propriétaire d’un grand domaine dans les Pyrénées. Selon Erwan Temple :
"Le public des différents événements qui ont eu lieu à Paris était composé de personnes déjà établies. Elles étaient issues de cercles et d’associations des De Swarte, Jacques Bensoam, Madame Eyserric, Anne Berry, Maurice Hélène et d’autres ; chaque groupe amenant d’autres personnes venant de son cercle. Parmi les présents, se trouvait également Madame Kaufmann, théosophe, avec de nombreux disciples à Paris, et Paul Arnold..." [8]
Comme le précise Erwan Temple :
"Elle leur donna l’énergie d’œuvrer pour le Dharma pendant au moins quelques années : certains écrivirent des livres, réalisèrent des films, donnèrent des conférences, d’autres financèrent des centres. Environ trois quarts de ces personnes consacrèrent une grande partie de leur vie, voire leur vie entière, au Dharma."
Vers la fin de son séjour dans la belle capitale française, le 10 jan vier, Karmapa fut reçu dans les locaux de la Communauté bouddhique de France. Son président était Paul Arnold, qui avait rencontré le Dharma chez Kalou Rinpoché au Darjeeling au début des années soixante.
Prochaine étape était Kagyu Ling en Bourgogne ou Karmapa inaugura le centre installé dans un château, comme Kagyu Dzong également fondé par Kalou Rinpoché l’année précédente – les deux étaient alors les seuls centres Kagyupa en France."
Extrait de Compassion rayonnante. Vous êtes bienvenu de partager le lien, mais pas de publier le texte lui-même sans permission écrite. Merci !
© 2025 Gerd Bausch
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Paris
Tous sont noyés dans l’océan de la souffrance du monde, extérieurement souillés par l’avidité et le désir, et le poison de la haine et de la malveil- lance envers les autres. Si nous devions résumer la substance du Dhar- ma (loi de vérité), nous pourrions dire qu’il s’agit de l’enseignement
du Bouddha, qui libère de l’ignorance et balaie les poisons de l’esprit, de la parole et du corps. [...] Vous accepteriez de vous donner un mal infini pour monter un ensemble mécanique compliqué, ou pour acquérir
richesse, situation, pouvoir. Faites de même pour le Dharma.
Le 16e Gyalwa Karmapa [2]
Contrairement aux événements partiellement improvisés en Europe du Nord, le plus grand moment de la visite de Karmapa en France eut lieu le 11 janvier 1975 dans un cadre particulièrement solennel. Pour l’occasion, une grande salle de l’hôtel parisien cinq étoiles Sheraton avait été louée. [2] Les personnes – entre trois mille et « plus de cinq mille » – qui assistèrent aux cérémonies de la Coiffe Noire étaient venues pour la plupart grâce au bouche-à-oreille. Laura Napoli :
"J’avais rencontré des gens ouverts qui parlaient de spirituali- té, de Blavatsky, d’Arnaud Desjardins, de Krisnamurti et ils m’avaient parlé de la visite d’un très grand maître tibétain. Je m’y suis donc rendue avec quelques-uns de mes amis. C’était un hôtel dans un quartier classique, il y avait un public très mélangé, un groupe de « hippies » assis par terre, déjà influencé extérieurement par l’Inde, mais pas seulement, c’était vraiment un public très mélangé. La grande salle était pleine. Bien sûr, c’était parfois la curiosité qui poussait les gens à venir.150
Selon le souhait de Karmapa, Arnaud Desjardins – qui lui avait rendu visite à plusieurs reprises à Rumtek dans les années 1960 – ouvrit la cérémonie. Le célèbre documentariste prononça un émouvant dis- cours de bienvenue. Parmi la diversité des participants se trouvaient des prêtres catholiques et le célèbre maître zen Taisen Deshimaru avec quelques étudiants, pour lesquels des places avaient été réservées
sur la scène. Parmi les personnes présentes se trouvait le lama Geluk- pa Dagpo Rinpoche, qui depuis 1960 enseignait le Dharma dans la capitale française et qui, avec Lama Denys et Lama Gyourme, avait également participé aux préparatifs de la visite de Karmapa à Paris."[3]
Photo: Karmapa et Taisen Deshimaru
Personne ne s’attendait à une telle affluence et il était impossible de laisser entrer tout le monde dans une salle déjà comble. Que faire ? L’une des organisatrices, Georgina de Swarte, sortit alors son chéquier et réserva la salle pour une seconde cérémonie. Selon les estimations, trois à cinq mille personnes y assistèrent et près de cinq cents prirent refuge. Karmapa passa dans les rangs pour couper lui-même une pe- tite mèche de cheveux aux nouveaux bouddhistes (selon la tradition lors de la prise de refuge). Ce fut certainement le plus grand événe- ment qui eut lieu en Europe.
Karmapa montra à nouveau l’influence qu’il avait sur les autres maîtres.
Ken Holmes décrivit ainsi l’attitude du maître zen Deshimaru :
"Au cours de la cérémonie, il paraissait de plus en plus mal à l’aise dans l’incroyable aura de Karmapa. Il semblait osciller entre le rôle de maître et celui d’élève. Sa Sainteté prit le ḍamarou (tam- bour à main) et tout en y jouant, fixa le maître zen. À la fin du passage, il joua le dernier crescendo comme un coup de tonnerre et maître Deshimaru fut littéralement secoué. Sa Sainteté sourit.
Le maître zen se détendit alors et sembla avoir compris quelque chose. Par son aptitude à montrer aux êtres de différentes capacités ce dont ils ont besoin, Karmapa était le maître des maîtres." [4]
Ensuite, Deshimaru invitait Karmapa dans son dojo zen de la rue Pernetty. Pour lui exprimer son respect, Deshimaru lui offrit, selon Lama Ole Nydahl, « les plus beaux cadeaux que je ne lui aie jamais vu recevoir, dont une bonne douzaine de statues, pour la plupart tantriques.» [5] Muriel, une pratiquante zen, servit le repas à Karmapa et à Deshimaru qui dînèrent en tête à tête. Ce qui s’est passé ensuite est un bon exemple de la manière dont Rigpé Dordjé renouvelait les liens qu’il avait autour du monde, avec des gens qu’il avait déjà ren- contrés dans une autre vie. Quand il partit, Karmapa prit Muriel par le bras et lui dit : « Je vous emmène. » Dans ses vies passées, elle aurait vécu au Tibet. Plus tard elle quitta Deshimaru et prit les vœux de nonne avec Kalou Rinpoché, qui lui donna le nom d’Ani Dekyi. [6]
À Paris, Karmapa et son entourage séjournèrent dans le nouveau centre Kagyu Dzong de la rue Philippe-Hecht fondé par Kalou Rinpoché lors de sa visite en 1973 et présidé par Lama Gyourmé. Comme par hasard, le seul Rinpoché qui résidait en France à l’époque, Dagpo Rinpoché de l’école Guélougpa, habitait juste à côté et avait aidé aux préparations, dont Lama Denys était le responsable. Avec son esprit Rimé, Karmapa s’entendait très bien avec le rinpoché et l’invita à venir enseigner à Samye Ling. [7]
Deux bienfaiteurs vinrent le voir, chacun pour lui donner une ferme et un terrain afin d’y établir un centre : Bernard Benson, propriétaire de vastes terres en Dordogne et Erwan Temple, propriétaire d’un grand domaine dans les Pyrénées. Selon Erwan Temple :
"Le public des différents événements qui ont eu lieu à Paris était composé de personnes déjà établies. Elles étaient issues de cercles et d’associations des De Swarte, Jacques Bensoam, Madame Eyserric, Anne Berry, Maurice Hélène et d’autres ; chaque groupe amenant d’autres personnes venant de son cercle. Parmi les présents, se trouvait également Madame Kaufmann, théosophe, avec de nombreux disciples à Paris, et Paul Arnold..." [8]
Comme le précise Erwan Temple :
"Elle leur donna l’énergie d’œuvrer pour le Dharma pendant au moins quelques années : certains écrivirent des livres, réalisèrent des films, donnèrent des conférences, d’autres financèrent des centres. Environ trois quarts de ces personnes consacrèrent une grande partie de leur vie, voire leur vie entière, au Dharma."
Vers la fin de son séjour dans la belle capitale française, le 10 jan vier, Karmapa fut reçu dans les locaux de la Communauté bouddhique de France. Son président était Paul Arnold, qui avait rencontré le Dharma chez Kalou Rinpoché au Darjeeling au début des années soixante.
Prochaine étape était Kagyu Ling en Bourgogne ou Karmapa inaugura le centre installé dans un château, comme Kagyu Dzong également fondé par Kalou Rinpoché l’année précédente – les deux étaient alors les seuls centres Kagyupa en France."
Extrait de Compassion rayonnante. Vous êtes bienvenu de partager le lien, mais pas de publier le texte lui-même sans permission écrite. Merci !
© 2025 Gerd Bausch
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- Message que Karmapa rédigeait à l’attention de la communauté bouddhique de France, dans : Alain Woodrow : le Pilier de diamant dans la fleur d’or , le Monde 27/01/1975.
- Voir la description de Roger Lachasse, p. 345.
- Récit à KTT Belvis, France.
- Ken Holmes dans : Levine : Miraculous 16th Karmapa, loc. cit., p. 297.
- Nydahl : Über alle Grenzen, loc. cit., édition 1990, p. 52/53.
- Entretiens avec Ani Dékyi (6-13/6/2015) Première Partie, sur www.ecuald.com
- Entretien avec Dagpo Rinpoché, 2021.
- Toutes les citations d’Erwan Temple proviennent de l’interview accordée à l’auteur aux Eyzies, 2013.
La première cérémonie de la Coiffe Noire ...
La première cérémonie de la Coiffe Noire a eu lieu le 6 janvier 1975 dans le centre de Kalou Rinpoché, Karma Dzong. La première cérémonie destinée à un public plus large a eu lieu le 8 janvier, dans un hôtel au Place d'Italie. Étonnamment, seule l'édition parisienne anglophone de l'International Herald Tribune en a parlé dans sa édition du 11 janvier.
Programme du 16e Gyalwa Karmapa en France, le Vatican, Italie et Suisse en 1975
6/1/1975 Kagyu Dzong, Rue Hecht : habilitation de Dordje Sempa, cérémonie de la Couronne Noire
9/1/1975 Paris PLM (aujourd'hui Marriot) ou plus probablement Hôtel Mercure, Palce d'Italie : Cérémonie de la Couronne Noire et refuge.
9/1/1975 Kagyu Dzong : Initiation de Milarepa
10/1/1975 Salle Aydar
Maison de l'Amérique Latine. Rencontre interreligieuse.
11 janvier : Hôtel Sheraton 2 Cérémonies de la Couronne Noire. Aujourd'hui Hôtel Pullmann, 19 Rue Commandant René Mouchotte,
11-14/1/75 Château de Plaige Kagyü Ling Vajrapani-Empowerment
ca. 15/1/ Fort-le-Bancs, centre de Paul Arnold
16/1/ Vol pour Rome
17/1/ Audience avec S.S. le Pape
18/1/ Visite à Rome
18/1/ Vol de retour vers Lyon. Visite du Cotonas à St Juste Malmont près de St Etienne.
19/1/ 2 ou 3 cérémonies de la Coiffe Noire à Cotonas
21/1/1975 Vol en Avion Taxi pour Brive-la-Gaillarde. Arrivée à 9 heures. La famille Benson vient le chercher en Rolls Royce. Visite du Château de Chaban sur la Côte J'Or (entre St. Leon s/ Vézère et Plazac). 15h30 vol Brive-Aix-en-Provence.
21/1/ Aix en Provence, Centre Phuntsok Tcheuling.
22/1/ Aix en Provence : Deux cérémonies de la Couronne Noire, initiation de Sangye Menla
23/1/ ( ?) visite chez Jean-Pierre Schnetzler, donation de la proprieté à Montchardon.
Cham bei Zürich : Fitz von Schultheiss l'invite dans son château de St Andreas Cham.
25/1/-28/1/ Rikon près de Winterthur : Colonie tibétaine, Tibet Institut, cérémonie de la Coiffe Noire avec mille personnes, initiation de Tchenresi/
28/1/ Inauguration de l'exposition sur le Tibet au Völkerkundemuseum der Universität Zürich (musée ethnologique de l'université de Zurich).
31/1/-5/2/ Genève
3/2/ Hôtel du Rhône : Cérémonie de la Coiffe Noire
5 ou 8/2/1975 Vol Genève-Rome-Beyrouth-Delhi-Calcutta
6/1/1975 Kagyu Dzong, Rue Hecht : habilitation de Dordje Sempa, cérémonie de la Couronne Noire
9/1/1975 Paris PLM (aujourd'hui Marriot) ou plus probablement Hôtel Mercure, Palce d'Italie : Cérémonie de la Couronne Noire et refuge.
9/1/1975 Kagyu Dzong : Initiation de Milarepa
10/1/1975 Salle Aydar
Maison de l'Amérique Latine. Rencontre interreligieuse.
11 janvier : Hôtel Sheraton 2 Cérémonies de la Couronne Noire. Aujourd'hui Hôtel Pullmann, 19 Rue Commandant René Mouchotte,
11-14/1/75 Château de Plaige Kagyü Ling Vajrapani-Empowerment
ca. 15/1/ Fort-le-Bancs, centre de Paul Arnold
16/1/ Vol pour Rome
17/1/ Audience avec S.S. le Pape
18/1/ Visite à Rome
18/1/ Vol de retour vers Lyon. Visite du Cotonas à St Juste Malmont près de St Etienne.
19/1/ 2 ou 3 cérémonies de la Coiffe Noire à Cotonas
21/1/1975 Vol en Avion Taxi pour Brive-la-Gaillarde. Arrivée à 9 heures. La famille Benson vient le chercher en Rolls Royce. Visite du Château de Chaban sur la Côte J'Or (entre St. Leon s/ Vézère et Plazac). 15h30 vol Brive-Aix-en-Provence.
21/1/ Aix en Provence, Centre Phuntsok Tcheuling.
22/1/ Aix en Provence : Deux cérémonies de la Couronne Noire, initiation de Sangye Menla
23/1/ ( ?) visite chez Jean-Pierre Schnetzler, donation de la proprieté à Montchardon.
Cham bei Zürich : Fitz von Schultheiss l'invite dans son château de St Andreas Cham.
25/1/-28/1/ Rikon près de Winterthur : Colonie tibétaine, Tibet Institut, cérémonie de la Coiffe Noire avec mille personnes, initiation de Tchenresi/
28/1/ Inauguration de l'exposition sur le Tibet au Völkerkundemuseum der Universität Zürich (musée ethnologique de l'université de Zurich).
31/1/-5/2/ Genève
3/2/ Hôtel du Rhône : Cérémonie de la Coiffe Noire
5 ou 8/2/1975 Vol Genève-Rome-Beyrouth-Delhi-Calcutta